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RECHERCHE-CRÉATION
PAGE EN COURS DE CONSTRUCTION

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La recherche-création que je mène dans le cadre de mes études doctorales interroge en quoi et comment la lumière artificielle conditionne l’environnement, organise les perceptions et agit directement sur les corps et ses états. Je l’aborde comme une force relationnelle qui façonne nos manières de sentir, de percevoir, d’habiter la scène et, par extension, le monde.

Pour étudier et éprouver ces effets, je développe un temps d’exploration qui croise les pratiques de Viola Spolin et d’Augusto Boal. De Spolin, je mobilise les jeux d’attention et l’improvisation théâtrale. À Boal, j’emprunte ses jeux théâtraux, son engagement politique et le renversement des rapports de pouvoir. Ces cadres théoriques et pratiques s’expérimentent avec la création de Là où s’effondre l’ordinaire dans des protocoles d’explorations lumineuses, avec des exercices corporels, des marches guidées, des interactions avec des objets lumineux et des mises en situation.

Je cherche ainsi à identifier comment la lumière structure les régimes de visibilité, influence les états corporels et (re) produit des dynamiques de pouvoir pour favoriser la réappropriation par les participant·e·s de ces forces lumineuses. 

Dans ce sens, la lumière devient une matrice d’expérience pour les corps et les imaginaires pendant le processus de création et au moment même de la performance.

                 

Priscila da Costa

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Là où s'expérimente la lumière ​

La plus belle ruse de la lumière est peut-être de nous faire oublier son rôle et de nous donner à croire que nous occupons le centre de l’univers, comme si nous jouions le premier rôle. 

La plus belle ruse de la lumière. David Elbaz

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